Nous pouvons nous accorder à dire, que les visiteurs des musées de l’inquisition n’y vont pas tous pour des raisons réellement culturelles. Si l’aspect premier est parfois identique à celui des voyeurs d’accident de la route, le second porte plus sur érotisme du BDSM.

Et oui, ces instruments de barbare utilisés pour la « Question », forme d’interrogatoire visant à faire avouer l’impensable et bien souvent le contraire de la vérité, sont excitants à voir. Les visiteurs de ces musées en sortent bien souvent avec une certaines excitation, leur fantasmes sont agréablement flagellés. Personne ne fantasme à l’idée d’être brûlé vif sur le bûché ou d’avoir les membres brisés, mais plutôt de se retrouver entravé plus ou moins vêtu sur les carcans de cette époque. Pour preuve, les croix de Saint André sont légion dans les clubs BDSM et donjons.

Au gîte fétichiste, j’avoue humblement me faire plaisir en fabriquant des instruments pour permettre à nos clients de se faire plaisir, de vivre leurs fantasmes dans de bonnes conditions. Nos instruments ou mobiliers de pervers ne portent pas que sur l’inquisition mais également sur l’époque romaine et moderne.

Si nous avons évidement une croix de croix de Saint André, nous disposons également de divers piloris. Pour mémoire, les piloris servaient à immobiliser les personnes dans la rue ou des lieux publics afin de les humilier et les faire souffrir tout en faisant peur au peuple. Lorsque le peuple a peur, il est plus facilement manipulable.... C’est d’ailleurs un peu pour cette raison que les églises étaient remplies « « d’images » » de personnes en grande souffrance.

Nos piloris sont donc déplaçables et peuvent sortir du donjon pour permettre à nos clients et clientes de s’amuser à leur guise autour de la piscine, dans le parc verdoyant ou sur la terrasse. Les personnes soumises immobilisées dans ces piloris ne seront vues par personne sauf nous ce qui limite grandement les risques. En effet, il n’était pas rare que le public fustige ceux et celles exposés nu dans des piloris quelques que soit la météo... Le froid, la chaleur, la soif s’ajoutaient à leur calvaire. ET NON, on ne les délivrait pas pour les emmener aux toilettes et les insectes ne se privaient pas de venir agacer, piquer !

Le supplice du pal (Précision, notre support sur la photo s’accompagne d'un bondage vertical)

Le supplice du pal conduisait les personnes à la mort. Il y en eu plusieurs sortes. L’installation d’une personne au dessus d’une pousse de bambou assez haute et dont le bout avait été au préalable taillé en biseau. Comme le bambou pousse d’un mètre par jour dans certaines régions, le supplice était atroce et long.

Il existait une autre méthode consistant à enfoncer un pieu dans le sol et d’y empaler le prisonnier par l’anus puis d’attendre. Le pieu pouvait ressortir par le thorax ou par la bouche selon l’axe de l’empalement. L’objectif était d’effrayer le plus possible ceux qui assistaient à ce spectacle. En effet on sait par exemple qu’en Egypte au 12e siècle av. J.-C., sous Ramsès IX, on recourrait au supplice du pal pour exécuter des pilleurs de tombes royales avec pour but de dissuader les potentiels candidats au pillage.

Le supplice du pal, excitant et jouissif proposé au gîte fétichiste consiste simplement à faire descendre la personne suspendue sur un gode ou plug. Le support peut également servir sans sextoy pour se rapprocher du « Cheval espagnol ». (Existe sous d’autres noms) le but de cet accessoire est d’asseoir une personne en appuie uniquement sur l’entrejambes. Les dites jambes étaient lestées pour rendre l’attente le plus douloureuse possible. Pour inciter les personnes à bouger et à se faire encore plus mal, quelques flagellations était de mise. Au gîte c’est quand même plus soft ! ! !

Notre support pour le supplice du pal est donc à la disposition des clients au donjon. Il peut être placé juste sous le treuil ou contre un le mur du couloir conduisant au sling. Des entraves permettent de fixer la personne soumise contre le mur. Pour l’inviter à s’empaler, il suffit de retirer les cales qu’elle a sous les pieds.

La croix en T sous l’inquisition (Notre « crux commissa » sera fabriquée prochainement)

Il n’y a pas que la croix de Jésus, il en existait d’autres comme celle en T ! Sur certaines de ces croix, les victimes avaient parfois la tête en bas et les jambes attachées écartées, d’autres avaient leurs parties intimes empaillées, (lestée pour du CBT ??) d’autres suppliciés avaient leurs bras étendus sur la pièce formant la croix. SANS les abominables clous mais juste des cordages. Le supplice était musculaire (horribles crampes) et respiratoire car être ainsi suspendu ne facilite pas la respiration. A ces « divertissements cruels, s’ajoutaient la météo, la soif, les insectes et les amusements divers comme le fouet ou autres....

Au gîte fétichiste, il est évidement que l’on ne fournira pas de clou ni ne marteau ! Par contre il est possible d’y placer en dessous notre support pour le supplice du Pal qui rendra la respiration plus aisée...

La chaise de l’inquisition

Actuellement, elle ressemble à une chaise haute pour adulte. En un rien de temps, avec un paillasson posé sur l’assise, elle devient nettement moins confortable. Avec un coussin, elle ressemble à un trône.

Dans le dossier de la chaise, des passages sont prévus pour une sangle ou corde permettant d’immobiliser la tête. Les accoudoirs ultra solides sont indéformables. Équipée d’anneaux, elle permet beaucoup de choses comme du bondage, du selfbondage, mais elle évoluera bientôt.

En effet, j’ai prévu de rendre l’assise interchangeable avec des options comme un entonnoir pour les adeptes de l’uro, des barres de fers pour que les orifices ou le sexe soit accessibles afin d’y jouer d’autres jeux ou du CBT par exemple. Il n’est pas impossible que d’ici fin 2023 les modifications soient faites mais comme j’ai beaucoup d’idées et énormément envie de faire plaisir aux clients du gîte fétichistes, le temps manque et le travail ne manque pas.

Des bancs pour les adeptes de la fessée (ou autres parce qu'il n'y a pas que l'inquisition, quoi que... )

Si nous disposons d’un banc à fessée classique, lui aussi déplaçable. J’ai également récupéré et restauré un banc de musculation. Placé dehors, il ne choquera pas les clients « conventionnels » puisque le gîte peut être loué à des vanilles une fois que les salles de jeux sont fermées. Il dispose même des poids en fonte, les vanilles pourront donc souffrir à leur guise en faisant du sport ! Si il n’a pas l’aspect d’un banc à fessée, il permet en « trois clics » (rire) d’y entraver un ou une vilaine pour la fessée sans nul doute grandement méritée.

Un gabarit pour faire les voûtes de pierres ou en béton

Partiellement restauré, il peut lui aussi être laissé visible pour les clients classiques. SAUF QUE, j’y ai ajouté des anneaux pour y fixer des bracelets. Ce gabarit offre de multiple possibilités !

• En mode inquisition avec la personne allongée sur le dos. Cela peut donner les effets de la fameuse table d’élongation sous l’inquisition.

• En mode spanking avec la personne allongée sur le ventre.

• En mode sexe avec la personne allongée sur le ventre, puisque la position est une invitation à... câliner voyons !

En clair, je m’amuse comme un fou en libérant mes idées perverses dont une partie sera, sans nul doute, appréciée et reprise par des clients encore plus pervers que moi !

Fin des confidences du jour !

TSM qui bosse trop..... au gîte fétichiste